1 octobre 2008
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conquete-du-terrain
Nous nous lançons donc en août 2008 à la recherche du terrain qui n'a pas été simple (trop petit, trop loin du travail, trop cher ...). Nous avons dû en visiter une douzaine, mais on a finalement trouvé, ouf !
A ce moment, une course allait être lancée. Et oui, il faut trouver une banque qui accepte notre projet et faire valider notre permis de construire.
Pour la banque, nous ne savions pas que le mot "autoconstruction" leur faisait si peur.
Après 6 banques qui ont refusé de financer notre projet, dont la dernière qui nous a bien menés en bateau (Crédit Foncier), il a fallu que nous addresser à une "banque" (Crédit Immobilier de France alias CIF) située dans un autre département pour avoir enfin un "oui".
Bien sûr, elle a été éxigente, le dossier devait, entre autres, comporter 70% de devis d'entreprises/artisans dans 3 corps de métier différents pour justifier le montant du prêt, même si au final, il y aura plus de factures de fournitures (Brico dépôt) que de factures d'artisans.
Pour le permis de construire, il fallait obligatoirement un architecte car nous souhaitions une superficie > 170m², pas trop de soucis pour cela malgré une facture élevée par rapport au travail effectué.
En revanche, la maire de la commune, malgré une entrevue avant le dépôt du permis, n'a pas apprécié notre projet, notamment l'annexe temporaire et le toit végétal malgré l'absence de PLU.
Donc, pour l'annexe, on a dit ok, pas de mobilhome, on construira l'annexe en dur, mais pour le toit végétal, on ne peut pas changer. Nous avons donc consulté (un peu tardivement pour le coup) le CAUE qui avait un bureau à la DDE pour essayer de s'entendre. Il a donc fallu rajouter quelques bardages, modifier quelques couleurs pour mettre tout le monde d'accord.
Finalement, tout est prêt pour la promesse d'achat. Mais avant de passer chez le notaire, il restait le géométrage du terrain car le vendeur ne voulait pas entreprendre ces frais là avant la vente. Mais le RDV avec le géomètre a pas mal tardé, reculant ainsi la vente chez le notaire.
En conclusion, la première signature de la promesse d'achat pour le terrain faite en novembre 2008, ne se conclua qu'après plusieurs périples en juin 2009.
La conquête a été longue !
Entre deux, notre tite dernière est née en mai, nous étions donc 6 à mettre les pieds sur le terrain le week-end suivant la vente.
Nous nous lançons donc en août 2008 à la recherche du terrain qui n'a pas été simple (trop petit, trop loin du travail, trop cher ...). Nous avons dû en visiter une douzaine, mais on a finalement trouvé, ouf !
A ce moment, une course allait être lancée. Et oui, il faut trouver une banque qui accepte notre projet et faire valider notre permis de construire.
Pour la banque, nous ne savions pas que le mot "autoconstruction" leur faisait si peur.
Après 6 banques qui ont refusé de financer notre projet, dont la dernière qui nous a bien menés en bateau (Crédit Foncier), il a fallu que nous addresser à une "banque" (Crédit Immobilier de France alias CIF) située dans un autre département pour avoir enfin un "oui".
Bien sûr, elle a été éxigente, le dossier devait, entre autres, comporter 70% de devis d'entreprises/artisans dans 3 corps de métier différents pour justifier le montant du prêt, même si au final, il y aura plus de factures de fournitures (Brico dépôt) que de factures d'artisans.
Pour le permis de construire, il fallait obligatoirement un architecte car nous souhaitions une superficie > 170m², pas trop de soucis pour cela malgré une facture élevée par rapport au travail effectué.
En revanche, la maire de la commune, malgré une entrevue avant le dépôt du permis, n'a pas apprécié notre projet, notamment l'annexe temporaire et le toit végétal malgré l'absence de PLU.
Donc, pour l'annexe, on a dit ok, pas de mobilhome, on construira l'annexe en dur, mais pour le toit végétal, on ne peut pas changer. Nous avons donc consulté (un peu tardivement pour le coup) le CAUE qui avait un bureau à la DDE pour essayer de s'entendre. Il a donc fallu rajouter quelques bardages, modifier quelques couleurs pour mettre tout le monde d'accord.
Finalement, tout est prêt pour la promesse d'achat. Mais avant de passer chez le notaire, il restait le géométrage du terrain car le vendeur ne voulait pas entreprendre ces frais là avant la vente. Mais le RDV avec le géomètre a pas mal tardé, reculant ainsi la vente chez le notaire.
En conclusion, la première signature de la promesse d'achat pour le terrain faite en novembre 2008, ne se conclua qu'après plusieurs périples en juin 2009.
La conquête a été longue !
Entre deux, notre tite dernière est née en mai, nous étions donc 6 à mettre les pieds sur le terrain le week-end suivant la vente.